En première partie : Pierre Alain dans un florilège de ses chansons authentiques, poétiques, sensibles et drôles.
En seconde partie :Martine de Freudenreich, de racines maternelles genevoises et racines paternelles vaudoises, pensait se diriger vers les voyages, en hôtesse d'accueil...Elle n’imaginait pas devenir auteur-compositeur-interprète et certainement pas se mettre à peindre. Son rêve, dans le domaine artistique, était de pouvoir écrire. Au fil du temps, trois oeuvres publiées,«Namo»,«Si tu savais Dominique», (Ed. Atelier Vivant),«Pépites de citron», (Ed. Culturalia). Depuis des années, parallèlement aux chansons, sa belle voix de soprano l’a conduite à se passionner pour le lyrique. Ses interprétations de l’«Ave Verum» de Mozart, le «Pace» de la Force du destin de Verdi, Bellini, Schubert, nous laissent présager qu’elle chantera à nouveau ces œuvres et d’autres. 1982, année de sa rencontre avec Pierre Alain. Harmonie, mariage... Sensible à sa voix, le poète lui confie l’interprétation de certaines de ses chansons et l’aventure débute publiquement, entre Paris et Genève. «Vivre et laisser vivre», «Différence» de Pierre Alain, lui ouvrent les portes du succès. Show-business, folles rencontres, divorce... écriture de ses propres chansons. Bientôt, après des passages télévisés à Montréal, d'autres à Genève, à Paris comme à «La chance aux chansons» de Sevran avec «Le Montillier» de Claude Prélo. Quelques temps troubadour, guitare en bandoulière dans les rues de la ville et certains restaurants., elle retrouve la scène. Celle du «P’tit Music Hohl» dans les «Mardis de Pierre Alain» fera lien avec ses chers fidèles qui la suivent depuis longtemps. Enfin, sur le plan purement littéraire, à paraître son nouveau livre: «Djakatan, une myriade d’étoiles» aux Editions Nicolas Junod.