Après le tour de chant de Pierre Alain, Jean-Luc Fornelli entre en scène.
La boîte à haïkuku et autres surprises…
Si vous n’avez jamais entendu les fameux haïkuku suisses de Jean-Luc Fornelli, c’est le moment ! Si vous en êtes déjà hyper friands, il y en aura plein d’inédits et
même d’un peu osés… Trop beau pourtant vrai. Musicien, humoriste, écrivain, comédien, Fornelli nous emmènera dans une vivifiante flânerie de poésie sarcastique et décalée dont il détient le secret. Textes fins teintés d'humour (noir ou coloré), parfois mâtinés d’un érotisme volcanique, mais toujours, selon lui, dans les limites du bon goût. La preuve ? Jean-Luc déplaît à toutes les confessions et personne ne trouve grâce à ses yeux, ni les riches, ni la classe moyenne, ni les pauvres... Fornelli, c’est surtout le plaisir, l’éternelle découverte, l’aventure avec les mots. De bonnes surprises permanentes.
Jean-Luc Fornelli n’a jamais voulu devenir Nabilla, pompier, docteur, policier, voleur, Gossip, vétérinaire, dentiste, top-modèle, footballeur, journaliste et - encore moins - astronaute... Ainsi est-il devenu poète.
Son dernier recueil Poésie de gare, paru dernièrement aux genevoises Editions des sables, conte l’histoire d'un poète professionnel qui (se) donne un spectacle de divertissement francispongien, aux sujets aussi curieux que multiples. Exhilarant ! Un OLNI, venu en ami…