Keren Esther en concert à Catalyse pour le vernissage de son 4e album.

«Toute nuit noire est une aube qui vient ! », écrivait Edmond Fleg.
Keren Esther n’aurait su dire mieux, l’idée de son quatrième album germant dans l’obscurité du premier confinement.

En se plongeant dans l’écriture de ses propres chansons, dans la langue de Molière, la chanteuse a pu renouer avec cette joie ensoleillée qui était la sienne lorsqu’enfant, elle écrivait ses premiers poèmes.
Keren Esther a accueilli cette joie lumineuse comme un cadeau, comme un fruit !
Ainsi est né son quatrième album dont elle dévoilera le titre lors du concert-vernissage, à Catalyse ; titre décrit ainsi par un de ses proches : «Le titre de l’album m’évoque une joie enfantine, une chaleur et en même temps la fraîcheur du fruit, en fait quelque chose d’heureux et positif : on a les yeux tournés vers le ciel, vers le fruit de la terre… Et en plus, c’est une chanson d’amour à l’homme aimé…».

Cette nouvelle éclosion n’aurait pu se faire sans les trois précédents albums de la chanteuse : une terre sur laquelle Keren Esther a pu prendre appui pour mieux laisser s’envoler ses propres mots tissés de mille et un fil, tout en rendant hommage à ses racines gorgées de soleil. Un voyage autour du monde, mais aussi un voyage de l’intime ; un ancrage mais aussi un envol.

Pour retranscrire cet univers, Keren Esther s’est entourée du guitariste Narciso Saúl qui a signé tous les arrangements des chansons, de Gaëlle Poirier et de son vibrant accordéon ainsi que du percussionniste, tout en finesse et subtilité, Sylvain Fournier.

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