Angus n’est ni stone ni australien, mais il ne renierait ni les douces vapeurs psychédéliques ni son effective jeunesse. Il est mal nommé vu qu’il est plusieurs, et qu’en plus il vient de Genève la républicaine. Cependant, il ne ment pas sur sa langue maternelle ; il chante en français tout en rockant sa maman (chez qui il vit sûrement encore). Mais ici plus qu’aux pâles copies de Noir Désir on pense à la poésie de Dominique A, aux guitares de Marc Sens, à la sensualité de Murat, voire au Christophe de ce millénaire.

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