- Y - ne sait pas encore s'il viendra seul ou accompagné, en trio, si tout va bien. Il ne sait s'il jouera longtemps, cela dépend d'eux, de l'espace et du temps. Si certains musiciens veulent l'accompagner, ils peuvent le contacter. Prenez votre saxophone, on vous fera une petite place. Mais improviser, cela ne s'improvise pas.
Dès 18-19h jusqu'à 21h, depuis l'apéro jusqu'à la fin, peut-être, au moins, sûrement. Minuit, avec quelques pauses, s'il peut dormir le lendemain, si on l'aide, si on le porte. Il espère, avec un pause, une bière et...ça repart / Il laisser les autres chanter, quand sa voix l'aura quitté.

- Y - aime cet endroit, le Jameson's Pub, à côté de l'irréductible cinéma morgiens, qui accueille ses collègues et surtout amis pour un verre le vendredi après le cours de nos emplois du temps dont on se libère enfin. On achève un cycle. Le vendredi, c'est séance psy commune, c'est pas cher, on rigole, ensemble

- Y -aime la générosité de ces lieux, celle de Joe, le philosophe irlandais au grand coeur, Natasha et Nathalie, et toutes celles et ceux qui remplissent d'amour tous ces pots cassés recollés, qui en ont bien besoin

- Y - aime avoir découvert que jouer aux fléchettes, c'est un peu comme lutter contre soi-même, comme devoir ne pas se tromper de cible

- Y - remercie Alain Mabanckou pour son livre Verre Cassé (http://www.afrik.com/article10158.html ), et Blaise, qui m'a fait aimer les endroits qui ont ce charme d'être dans la lumière précisément parce qu'il est ombragé, un peu comme cette reine du bal qui ne se situe jamais là où l'on regarde

- Y - jouera pour les autres, pour lui, comme il le peut. Ce ne sera pas parfait. Ce sera.