GRANDBEC, de son vrai nom : Pascal Vigolo, c’est un gars qui fait tout, tout seul et surtout à son rythme. Il grandit dans une petite ville de Suisse Romande et se passionne, dans un premier temps, pour les jeux vidéos et le modélisme.
Ce n’est qu’à l’âge de 17 ans qu’il touche sa première guitare. À la fois intrigué et fasciné, il passe la plupart de son temps à pratiquer l’instrument, jouant et rejouant des morceaux qu’il adore tout en y posant sa voix.
Deux ans plus tard, il fait la connaissance de Cyrielle Formaz avec qui il crée le groupe de folk Macaô qui foulera, durant six ans, plus de 100 scènes suisses et internationales (Caribana Festival, Rock Oz’Arènes, Montreux Jazz, Tohu Bohu, Sion sous les Étoiles, …)
Chaque chose ayant une fin, Macaô est dissout en 2017 et ses membres prennent chacun des directions différentes. Pascal fonde tout d’abord le groupe de stoner Jane Barnell au sein duquel il se concentre sur la voix. Il écrit ensuite un concept album accompagné d’un livre qu’il vernit avec un nouveau power trio : Barde & Orage.
Fort de ces deux expériences de compositions, Pascal décide de se consacrer pleinement à la musique et fonde son propre projet : GRANDBEC, nom qu’il tire de son “énorme pif”.
Confiné dans sa chambre lors de la pandémie de Coronavirus, Pascal écrit et compose de nouveaux titres dans un style qu’il n’avait encore jamais exploré. Réunissant le meilleur des mondes, il s’inspire autant des nappes de guitare à la Gilmour que des grooves de hip hop des années 90. À cheval entre du rap, du slam et du chant, ses morceaux sont surtout basés sur les textes et quelles que soient les thématiques abordées, il veille toujours à choisir les mots justes et à trouver un angle d’approche intéressant. On retrouve donc un panel de sujets très larges, comme le regard des autres, le harcèlement, le rapport à la technologie ou encore le refus de grandir.