2018 : « Square » (première composition). Synonymes : rond-point (France), carré (Québec), grand-place (Belgique).
J’ai produit à la maison, ce titre sans prétention, mais qui a au moins un mérite : l’harmonie est bien centrée. Il manque la mélodie finale pour lui donner de la profondeur. La batterie est intéressante, et si le groove tourne à l’envers du bon sens, les breaks sont bien calculés. Composé dans l’urgence avec des éléments récupérés, préenregistrés, libres de droits et quelques pianos électroniques que j’ai arrangés, cet instrumental me sert de structure, c’est pourquoi je la laisse malgré ses défauts de jeunesse. « Square » est un morceau réalisé pour le concours m4music.
2014
Pas de coings cette année.
Avec Théophile, nous formons un groupe pour un Concert Blues-Jazz à la Pizzeria de Prilly « Caf'Arts ». Nous reprenions 4 blues de Robben Ford : Tired of Talkin' - Lovin Cup - Start it Up - Talk to your Daughter et quelques morceaux de variétés.
Vous pouvez voir sur la photo ou nous jouons : Théophile Mbarga à la guitare/chant, Bastien C. Anthony à la batterie, Sandy Kamerzin au piano, et à la basse moi-même.
2013
Petite production locale de coings par mon père.
Le chanteur Pierre de Moussy du Cameroun, projetait de faire quelques concerts à Annemasse, nous jouions ses premiers succès Makossa des années 70 avec Théophile Mbarga sur la guitare, Biba Binfana au piano, et moi.
2008-2011
Réapprendre
Je jouais comme bassiste dans un trio de reprises blues et pop à Genève, nous travaillions un répertoire de 40 chansons, avec un chanteur guitariste, et un batteur.
2007
Un vieux rêve devient réalité.
Je commence la basse, Théophile Mbarga un joueur de guitare connu dans son pays comme un spécialiste du style Bikutsi, me montre les techniques de l’instrument..
1994
La batterie, et puis le skate.
J’ai 14 ans, je joue à imiter les batteurs de Nirvana, Smashing Pumpkins, ou Bob Marley. Les relations de mon âge préfèrent apprendre le skate-board, et ceux avec qui j’écoute ces groupes ont 17 ou 18 ans, à l’adolescence c’est un clivage et puis ils entrent à l’université, déménagent, etc. Je commence donc le skate qui m’offre la liberté que je cherchais dans la musique. Voyager unit par une même passion, peu importe nos différences, notre classe sociale, notre art se situe dans l’underground et personne ne pense à dominer l’autre. Nous sommes des rats des champs, les rats des villes, par instinct de survie, ils défendent leur territoire, plus grassouillet, ce sont des guerriers de la rue. Le skateur dans la nuit traverse les boulevards comme le surfeur flotte sur les vagues, rien ni personne ne l’arrête. C’est lui qui voyage à travers le temps et l’espace. Parfois, il se perd, en dessous du point zéro, sur la lune d’un atome plus gros que notre satellite, mais plus petit que notre globe terrestre
1984.
Je monte !
Fils, où cours-tu ? Apprends la patience d’abord. (mon père).
1980.
Naissance
