MAXENCE LEONARD /// YANN HUNZIKER
Il y a des entités qu’il vaut mieux ne pas définir. Tantôt classique, tantôt expérimental, tantôt conventionnel, tantôt marginal, un peu ici, un peu là-bas, KANDRA souhaite avant tout faire de sa musique un moment unique.
Alors qu’ils n’étaient, à priori, pas destinés à se rencontrer, c’est grâce à la magie du hasard que Maxence Léonard et Yann Hunziker, 22 et 23 ans, lient connaissance. Le premier cherchait d’urgence un batteur pour son concert du lendemain, le deuxième accepte la proposition. Quelques heures plus tard et une première répétition confuse passée, KANDRA point un soir d’hiver 2017.
Véritables « geeks de musique », il n’est pas rare de surprendre les deux musiciens en plein débat, des heures durant, sur le prochain son qui leur fichera les frissons. Maxence pose ses états d’âme sur papier, Yann cherche le bon rythme ; ensemble, armés d’une guitare, d’un violoncelle, ou encore d’un piano, ils créent l’émotion.
Inspiré par le génie fou de Jack White, ou bien le lyrisme d’un bon vieux rock français, grand adepte du live, KANDRA redoute les cases et souhaite voltiger, avec aisance et improvisation, d’un genre à l’autre.
