Biography
Nous sommes deux artistes, Jen Gaumann et Marco Bucher, avides de sonorités originales et passionnés au point de se lancer dans des recherches vocales et sonores pour aboutir au résultat que nous vous soumettons. Notre projet de compositions musicales et littéraires existe depuis 2019.
La musique est pour nous avant tout un moyen d'exprimer des émotions au sein d'une trajectoire de vie, d'un itinéraire intime qui se révèlent être un pont entre les personnes, entre votre imaginaire et le nôtre.
À partir de cette chanson, nous réaliserons un clip vidéo dans le courant de l'année, en ville de Lausanne et alentours.
Projet ou vision du clip (de Marco Bucher) :
“Essaie d’accepter cette part de violence qui est en toi, comme dans toute forme d’existence.
Ainsi, elle ne se retournera plus contre toi. C’est le même chemin qui mène à la solitude, et qui te permettra ensuite de mesurer l’importance de la relation avec les autres personnes.
C’est à ce prix que tu rejoindras le cœur de ta vie et que tu deviendras adulte.
Après, tu pourras compter sur le courage et la gaieté* pour ne plus trop te perdre et avancer.”
* Ces deux mots sont de Nicolas Bouvier.
Nous avons tous deux fait partie de nombreux groupes auparavant, comme les Clavin et Hobbes, les Yquem, et/ou participer à de nombreuses collaboration avec, entre autres, des musiciens talentueux comme Pierral Bertholet avec Mangata ou DJ Rainbowdrop, en plus de nos projets solos . Pour plus d'info, voir nos profils personnels.
Bonne écoute !
La Deuxième Étoile (Marco Bucher/Jen Gaumann)
Auprès de mon égo électrique
Les feux tantriques paniquent
J’freine fort dans les virages
Je serai sage, mais faut me croire, j’enrage
Allumé aux écrans de joies
Je rêve dans le Jeu de l’oie
Gavé comme une mangue
de regagner les saveurs sur ma langue
Je suis plus qu’une promesse à tordre
Et si je m’ouvre à mon désordre,
En double-fonds, je suis l’expert,
Un douanier muet, un truand disert
J’irai sonder mes écarts
Souple comme un carambar,
En somme tel un aveugle-men-teur
Pour m’apaiser, enfin, jusqu’à l’apesanteur
J'poursuivrai plus ma danseuse étoile
J’f’rai les yeux doux à mes peurs
A corps tendu, un peu moins décimal
Aux flammes, mes dernières, fleurs du mal
De ma volonté de réel,
La Liberté se fera belle
Qu’elle m’accepte, lové dans sa chaleur
Comme un enfant, déposé sur mon cœur