SPARSORIUM
(lat. "arrosoir")
Sa musique, oscillant entre le thrash-metal latino progressif classique et beaucoup d'autres choses aussi variées que les couleurs d'un sachet de M&M's, vous entraînera au-delà de vos pires cauchemars, dans un pays où tout peut arriver...
Sparsorium, c'est surtout une histoire de hasard. Peut-on dire que ça a commencé en 2008 ou avant ? Si on veut connaître l'histoire dès le début, il faut revenir en octobre 2006 à l'EPFL...
Rentrée universitaire 2006 : Gabriel et Nick se rencontrent en début d'année et se découvrent rapidement des goûts communs pour la musique : Pantera, Gotthard, la musique latino, le jazz et bien d'autres. Impressionné par le talent musical de Gabriel, Nick se bouge le derche pour progresser et rapidement, ils commencent à jouer ensemble régulièrement. Nick achète sa nouvelle basse (une Warwick 6 cordes) et déniche également un batteur, Marco Salathe, excellent jazzman. Pendant une année, les jams se succèdent mais, en fin d'année scolaire, ils ne se voient pas pendant les vacances.
Rentrée universitaire 2007 : séparés par les aléas des études, les jams reprennent mais avec moins d'entrain. Un jour qu'il se dirigeait vers une jam dans le local de musique de l'EPFL, Nick croise Stefan, qu'il avait déjà entendu jouer quelques mois auparavant. Celui-ci, motivé par la présence d'un clavier, les rejoint "juste pour voir".
A partir de là, le raisonnement est simple : Stefan pose, pour montrer ses goûts musicaux, une de ses compositions. Automatiquement, les trois autres se joignent à la musique et une semaine plus tard, la formation se produisait déjà devant un petit parterre d'amateurs de jam-sessions en interprétant leur première composition "Dynamite".
La magie avait opéré, Sparsorium était né. Les compositions commencent à fleurir, on commence à enregister les morceaux mais une ombre vient voiler le tableau : Marco, aussi bon jazzman soit-il, n'a pas un style adapté aux compositions toujours plus exigeantes et le premier concert approchant, la tension monte. Quand ils prennent contact avec Sébastien, c'est la mort dans l'âme qu'ils congédient Marco, qui prend la nouvelle avec philosophie et accepte la décision.
Très rapidement, Seb se met au travail, apprend les morceaux dans un temps record. Le concert s'approche toujours plus. Une semaine avant, le groupe enregistre les version définitives. Malheureusement, Seb n'est là que comme "intérim" pour le concert. De plus, Nick, dépassé par la structure et la complexité des morceaux, songe à jeter l'éponge après le concert.
A l'heure où cet historique est rédigé, le concert s'est déroulé de façon fantastique, changeant les opinions de Seb et Nick, ce dernier drastiquement remotivé.
Prochaine étape : trouver un(e) chanteur(se) et élargir le répertoire. La déferlante Sparsorium arrive. On est LA et on en VEUT !!!